Lors du précédent numéro de La crécelle, dans l’article « Le département danse et le nu : homme ou femme, une pudibonderie à géométrie variable », nous avons écris par erreur que Zoé de Souza était une chorégraphe invitée par le département danse. Elle y est en fait toujours étudiante, et à ce titre, cela lui arrive, comme ses camarades, de signer des chorégraphies lors de représentations publiques de la saison du conservatoire.
Cela ne change rien au problème soulevé par l’article, à savoir la censure de la nudité dans le département danse contemporaine, au détriment de la liberté artistique des étudiants, et surtout l’inégalité de traitement entre danseur hommes et femme sur ce sujet.
Mais la situation pourrait évoluer : suite à notre article, le directeur du département a informé les représentants des élèves danseurs que le débat allait être réouvert, et qu’un arbitrage sur cette question allait être demandé à la nouvelle direction.
Un encouragement pour continuer à défendre notre aspiration à pouvoir expérimenter nos arts librement !